Chapitre 1 : Une nouvelle Fondation

Le château d'Angers. C'est un château médiéval imposant et massif et construit en ardoises. Il surplombe la Maine et se trouve en plein centre-ville d'Angers. Malheureusement, il semble être à l'abandon et tomber en ruine.

L'heure du rendez-vous approchant, vous vous présentez devant le pont-levis où semble être postés deux gardes qui, en vous voyant, vous invitent à entrer en vous indiquant où se trouve la Grande Salle.

La Grande Salle, comme son nom l'indique, est une pièce assez vaste, dont les murs sont faits d'ardoise à l'instar du reste du château. Ces mêmes murs sont néanmoins décorés de grandes tapisseries médiévales représentant toutes sortes d'animaux légendaires tels les licornes ou les dragons. A noter tout de même que l'électricité semble avoir été installée dans le château. Vous voyez en ce lieu entre 10 et 20 personnes qui discutent et semblent attendre.

Citation :

Note du Conteur : Bien sûr, le Monde des Ténèbres diffère du nôtre. Ainsi, seuls quelques pâles rayons du soleilarrivent à percer les nuages noirs de la pollution, les bâtiments sont lézardés et les rues pleines de SDF.

Note du Conteur : Merci de préciser si vous arrivez en avance ou en retard. Je continue dès que tout le monde a posté.

Après avoir déjeuné dans une brasserie bon marché, Paolina se promène dans Angers pour digérer. Elle contourne le château, et s'aperçoit qu'il est en mauvais état, comme abandonné.

Ne voyant rien de spécial, elle retourne à son van où elle se prépare un café agrémenté d'une cigarette dont elle a le secret. Puis environ quinze minutes avant l'heure du rendez-vous, elle traverse le pont-levis du château, et découvre avec étonnement deux gardes. Ceux-ci lui indiquent la direction de "La Grande Salle".

Après quelques hésitations, elle trouve l'accès menant à cette pièce, où plus d'une dizaine de personnes discutent. Elle salue le comité, puis observe attentivement chaque personne, en restant à l'écart. Elle essaie de déterminer quelle impression elle fait aux gens. Elle tente aussi de repérer la personne dont elle a eu une vision.(Bien sur, si quelqu'un vient lui parler, elle engagera la conversation).

Un poid lourd arrive devant le chateau et il en sort, du coté passager, une fille d'environ 14 ans habillée en robe de nuit plutot provante pour son age. Elle porte un sac à dos. Ses cheuveux son mi-long de couleur bleues, coiffés en tresses. Elle s'approche doucement, timidement et frappe à la porte. Elle hésitait à entrer et le rendez vous devait être passé depuis un moment, enfin elle n'avait pas de montre donc elle n'en était pas sure. Lorsqu'elle s'apprêtait à s'en retourner, environ dix seconde après avoir donner le premier coup dans la porte, elle fut surprise par le craquellement de la porte.
"Veuillez entrez, lui dit-on" Et c'est ce qu'elle fit sans broncher. Elle suivit jusqu'à arriver dans la grande salle.

Citation :

Pour Paolina

Les autres personnes présentes ne semblent pas vraiment se connaître mais les discussions vont bon train. Et bien qu'en cherchant attentivement, tu n'aperçois pas la personne dont tu as eu une vision.

Au fur et à mesure où les gens arrivaient dans la Grand Salle, les conversations s'engageaient, de temps en temps interrompues par des éclats de voix masculine semblant venir de derrière une énorme porte à double battants en bois massif.

Ardan arrive en gare d'Angers...Là il constate à l'une des horloges que l'heure du rendez-vous est déjà passée et se met en quête d'un taxi.

*C'est bizarre, me voilà dans cette ville, sur l'invitation d'une personne que je ne connais pas et pourtant je suis ici...*

En cours de route Ardan demande au chauffeur s'il connaît le propriétaire du château.

dans la soute de l'avion-cargo en route pour un petit terrain d' atterrissage de la banlieue de Angers, Sofia inspire les odeurs psychotropes de ses plants hybrides.
Elle devine sa destinée ( temps 2, entropie 2, psyché 1)
Elle voit son futur hote,
Elle se voit trouver facilement un taxi à l'aéroport,
elle se voit arriver jusqu'au château,
elle se voit reconnaître en Paolina une de ses soeurs,
elle se voit la prendre dans ses bras et partager leurs psychés (psyché 3)

Franck hésita un peu et après y avoir réfléchit au bar du coin devant une bouteille, il se dit pourquoi pas et que de toute façon, il pourra testé sa nouvelle voiture sur l'autoroute.
Franck partit du bar sans payé.

A sa sortie il montat dans sa voiture, pris les affaires qu'il avait dans son squat et partie pour Anger en explosant toutes les limitations de vitesse sur la route et sur l'autoroute.

Arrivé a Anger il vit le chateau pourrit, et dit :
"Wé c'est aussi pourrit qu'mon squat quoi"

Franck se gara un peu plus loin en regardant l'heure, il sortit de sa voiture en prenant soins de la fermé à clef et il rentra dans le chateau en passant par le pont-levis.
Il croisa 2 gardes qui l'invitat à se rende dans la grande salle, sans rien dire il s'y renda tranqullement.

En rentrant dans la grande salle Franck laissa échapper :
"Au moins ils ont l'électricité"

Il repenssa à l'heure du rendez vous et dit :
"Putin pour une fois que jsui a l'heure, j'ai bien explosé le compteur sur s'tautoroute.
Au retour j'essayerais de faire encore mieux"

Puis en regardant l'assemblé tout en étant toujours un peu en retrais derrière, il se dit :
"Bon putin c'est qui la mef qui ma donné srencard"

Franck alla vers le regroupement de personne et dit de facon à se que tout le monde entende un peu pres (sans crié) :
"Qui est Camille de Saint-Erblain?"

Il regardat les réactions des personnes en s'attardant sur les femmes pour tenté de voir si une été Camille de Saint-Erblain.

Les regards des personnes présentes se tournèrent quelques instants vers Franck sans que celui-ci n'obtienne de réponse.

Puis soudain, des deux portes du fond émanèrent de nouveaux éclats de voix avant que les deux battants ne claquent et que quelques personnes traversent la grande salle en direction de la sortie.

Apparut alors dans l'embrasure de la porte un homme d'une petite quarantaine d'année et à la stature imposante. L'individu était vêtu d'un costume blanc assez chic décoré d'une croix rouge sur le coeur et d'une grande cape blanche. Sur ses épaules tombent de longs cheveux blonds. Pour ceux qui y prêteraient un temps soit peu attention, il arbore également une épée dans un magnifique fourreau au côté gauche.

D'une voix sévère et puissante dont l'effet était accopagné de son regard, l'homme ordonna :
" Kazito, Delcamillo, Sofia, Ardan et Franck à l'intérieur et fermez la porte derrière vous ! "
Puis il disparut de nouveau dans la salle d'où il était sortit.

Citation :

Pour ceux qui pénétreront dans la pièce, il s'agit d'une salle de taille plus modeste que la précédente dont le seul accès est la grande porte à double battants. Elle est simplement meublée d'une table massive en bois située au centre de la pièce et entourée de chaises dont une grande partie est vide.

Au bout de la table, face à la porte, se trouve un vieil homme avec une grande barbe blanche, de longs cheveux blancs tombant sur une sorte de tunique rouge et des sourcils broussailleux laissant à peine entrevoir ses yeux.
A sa droite, sur le côté droit de la table, se trouve l'homme qui a été décrit ci-dessus.
Puis dispersé autour du reste de la table, une belle jeune femme d'une trentaine d'année en tailleur noir avec une chemise blanche avec de longs cheveux noirs et un gamin aux cheveux bruns courts et aux grands yeux verts.

Franck dit (trop doucement pour que l'homme entende) :
"Qui c'est s'connard, jvais lui faire bouffé c'est dents s'il continu!
Bon si'l connais m'on nom il doit savoir qui ma fait vnir."
Franck n'ayant pas fait le voyage pour rien, décidat de suivre l'homme sans ajouté un mot de plus.

Une fois dans la salle, et après avoir regardé rapidement les décorations de la salle, Franck regardat l'assemblé et s'assaya à une chaise en attendant que quelqu'un parle pour savoir se qu'il faisé ici alors qu'il pourrais faire la fête.

L'homme en blanc, voyant Franck entrer et s'assoir, lui lança d'un ton tout aussi agréable que précédemment :

" Vous n'avez pas été invité à vous assoir alors levez-vous et remettez cette chaise en place ! "

Franck tout en fixant froidement l'homme et sans rien dire se leva, reposa la chaise violament, et atendit toujours en fixant très froidement l'homme.

Lain entra timidement dans la salle et restait toujours attentive envers le reste du monde. Tout ce qui n'était pas elle était potentiellement NON réèl et elle ne supportait pas le consensus.

Bien qu'arrivé en retard, celui qui répondra au nom d'Ardan, comme vont l'apprendre les autres invités privilégiés, réunis dans la pièce à la grande table en bois, parvient à se glisser avec eux juste à temps, sans rien dire mais en observant quelques secondes le jeune homme qui repoussât la chaise.

*Drôle d'ambiance...et que dire des...costumes! Je me demande qui sont tous ces gens...et pourquoi je suis ici...Qu'est-ce qui m'a poussé à venir jusque dans ce château...je n'en sais fichtre rien!*

Ardan pose ses mains sur le dossier d'une chaise et attend.

Paolina observe les personnes qui sortent de la pièce derrière la porte à double battant. Elle essaie de lire sur leur visage s'ils ont l'air plutôt heureux, en colère ou éberlué.

Elle entre alors dans la pièce et repère desuite l'homme de sa vision.
*Alors c'est lui, Camille ! Il ressemble à rien habillé comme ça. Enfin bon, ça colle bien avec le château au moins ! *
Elle détaille avec attention toutes les personnes réunies.

Puis avec un sourire rêveur, elle dit tout simplement : "Bonjour !" et attend la suite des évènements.

sans surprise, Sofia trouve facilement un taxi qui la conduit jusqu'au Chateau, là elle reconnait Paolina et partage ses visions avec elle : (psyche 3) : danger, opportunité, écoute, respect...
Avant de rentrer dans la pièce suivante et offrir des fleurs ( en guise de message d'amour, de respect et de paix aux personnes présentes), elle avale une boulette d'herbes shamaniques ouvrant au maximum ses sens (psyche1 ) et lui permettant même de voir les auras de son hote et de ses invités ( psyche 2 )

Citation :

Pour Franck :

Tu fixes froidement l'homme mais il fait de même.

Citation :

Pour Paolina :

En observant les personnes qui sont sorties de la pièce avant que vous n'y entriez, tu as remarqué qu'elles avaient plutôt l'air en colère, faitguées et exaspérées.

Lorsque tu dis bonjour, tu vois le petit garçon qui te fait un signe de la main.

Citation :

Pour Sofia :

Le petit garçon est très content de recevoir des fleurs.
La jeune femme en tailleur noir te remercie.
Le vieil homme ne réagit même pas.
L'homme en blanc est occupé à fixer Franck.

Une fois tous les nommés entrés dans la salle, et tout en continuant à fixer du regard Franck si celui-ci n'a pas baissé le regard, l'homme en blanc fit une réflexion, sur le ton habituel qui le caractérise :

" J'avais demandé à ce que la porte soit fermée ! "

Une fois que quelqu'un aura fermé la porte, le vieil homme trônant au bout de la table prendra la parole et annoncera, d'un ton monocorde :

" Bienvenue. Je suis Abel du Lac, Diacre de la Fondation andégave. Si vous avez été convoqués ici, c'est parce que nous avons une mission à vous confier. Bien sûr, vous n'êtes nullement tenus d'accepter mais en cas de réussite, nous serions heureux de vous compter parmi nos membres, ce qui vous donnerai accès à des ressources que vous ne pouvez pas encore imaginer. Inutile de vous préciser qu'il en va également de la survie de la Magye ainsi que de la vôtre, jeunes Disciples. "

Un fois que l'homme du nom de Abel du Lac parla, Franck quitta le regard du vieux en blanc pour regardé (normalement) et écouté Abel.
Il ne dit rien pour laisser l'homme continué et donner plus de détail.

Les quatres personnes assises autour de la table semblaient désormais attendre une réaction des jeunes Disciples qui se tenaient devant eux, le gamin jouant avec les fleurs que lui avait offertes Sofia.

Paolina ferme la porte avec précaution, en gardant les yeux sur le groupe dans la pièce.
Malgré un sourire radieux sur les lèvres, on peut voir dans le regard de Paolina qu'elle n'est pas rassurée du tout, quelques gouttes de sueur commençant à perler sur son front (Elle ne porte pas ses lunettes de soleil, bien entendu).

Elle dit alors (si elle sent qu'elle peut prendre la parole), avec un léger accent hispanique :
"Merci pour votre accueil si ... original dans ce lieu historique. Pour ma part, je m'appelle Paolina, j'appartiens aux Cudex, et je serai ravie de vous aider si la cause me semble juste."

*Diacre de la Fondation andégave, mais encore ? J'imagine que c'est une grande personnalité de cette fondation. En tout cas, il manque de courtoisie, il ne nous à même pas fait assoir. Mais laissons le temps faire les choses.*

Lain, perplexe.

"Membre ? Tiens dont ? Et membre de quoi ? D'un club privé ?"

Elle regarda succintement toutes les personnes présentes.

"Non, ca m'étonerait, mais de toute manière, ce n'est pas vraiment ca l'important, n'est-ce pas?"

Sous l'effet des psychotropes, Sofia se contente d'écouter, d'observer et diffuser dans la pièce des ondes positives (psyché 3)

Franck ne disant toujours rien, prète bien attention a se que va réponde Abel aux propos des des personnes présente.

"Euh on pourrait savoir pourquoi vous nous avez contacté...? Nous sommes les seuls à pouvoir prétendre à réussir cette...mission ou c'est juste un hasard?"

Le jeune homme semble assez décontracté et s'attarde plus particulièrement sur le vieil homme.

Le vieil homme reprit alors sur le même ton monocorde :

" Qui a dit que vous étiez les seuls ? Vous n'avez donc pas vu les autres personnes qui attendent dans la salle précédente ? D'autres questions peut-être ? Sinon vous pouvez sortir. Mon ami Camille vous donnera les détails de votre tâche après que nous ayions vu les autres. "

Et en concluant, il désigna l'homme en blanc.

*Cette homme est décidemment très malpoli*

"Peut-être que si tout le monde se présentait, je comprendrais mieux. Et d'abord, pourquoi nous avoir choisi tous les cinq ? Pourquoi faites vous ce "discours" en petit comité, et pas devant tout le monde ? S'agit-il d'un test ?"

Tout en disant cela, Paolina, se dit qu'elle a surement parlé trop vite, et que l'homme va se facher, mais peu importe.